A propos des attentes des entreprises concernant les candidats :
Souvent, le pb n’est-il pas aussi que les entreprises, ne connaissant pas ou très peu ces nouveaux métiers (le community management par ex.), n’ont PAS d’attentes spécifiques, car elles ne savent pas vraiment de quoi il est question ? Le recruté est souvent précurseur, et c’est lui qui va mettre en place son métier dans l’entreprise. Se pose alors le pb de la confiance : comment l’évaluer lorsque personne ne comprend ce qu’il fait ? On comprend les hésitations étant donné les enjeux…
On en revient à la problématique d’une nécessaire « bi-évangélisation » des recruteurs (de quoi est-il question) et des recrutés (comment fonctionne une entreprise, quelle est sa logique)…
A propos orthographe, on touche un point complexe, car coincé entre deux logiques opposées bien qu’ayant un objectif commun : le SEO et la longue traîne (de ce point de vue, le rédacteur peut être considéré comme un bon lorsqu’il fait des fautes stratégiques) / le bon sens humain et la logique commerciale… Et il y a aussi de nombreux(ses) analphabètes + difficiles à embaucher 😉